Les maux féminins et leurs psycho-énergie

Dans 99,99% des cas, les femmes auront l’un des symptômes que je cite plus bas. Et dans 90% des cas, on en fera une banalité. Car les symptômes sont vécus par beaucoup de femmes alors c’est forcément normal. Aujourd’hui la plupart des symptômes qu’une femme peut avoir et banaliser. Qui parmi vous a déjà eu des règles douloureuses ? Et qui a déjà entendu que c’était normal ? Qui d’entre vous a déjà eu des pertes blanches ? Et qui a déjà entendu que cela était normal ? Effectivement je vous parle des cas les plus rencontrés, car on a tous eu ces symptômes et j’en fais également partis.

J’ai déjà pu traiter quelques sujets sur Instagram en diagonale. Aujourd’hui je vous fais un article complet. Je n’exclus pas les symptômes du manque d’une vie saine, et pas cela j’entends : stress, alimentation par exemple.

L’utérus fait partis des émonctoires. Seule les femmes sont concernés, au travers des menstruations et leur abondance, leurs textures, la couleur et l’odeur peuvent varier en fonction de l’acidité du corps. Les douleurs lors des périodes de menstruations peuvent aussi être dues à un encrassement de la lymphe. Si les déchets normaux ne sont pas éliminé par les filtres biologiques, alors la lymphe s’encrasse et ne peux plus nourrir nos cellules. Les déchets pourront alors même intoxiquer nos cellules et rendre leurs tâches impossibles. Et l’utérus fait partis de l’un des filtres biologiques mis à notre disposition.

Le syndrome prémenstruel : Période qui subsiste quelques jours avant les menstruations, et qui se traduit par divers maux comme la nervosité, les maux de dos, de tête, de ventre des sauts d’humeur. C’est un déséquilibre hormonal qui amène des changements physiques et imite un état de maternité. Une personne qui va avoir des syndromes prémenstruels va activer un processus de rejet et de culpabilité. La période menstruelle sera pour elle un rappel quelle vie dans un univers gouverner par les hommes. Elle va devoir alors prouver que c’est une femme forte et épanouie, et en même temps elle va éprouver des sentiments à ne pas devoir s’efforcer à prouver sa valeur. Le syndrome prémenstruel la conduit donc à réfléchir sur sa perception en tant que femme avec sa relation avec la féminité. Elle trouvera donc les « règles » de la société « douloureuses ».

Les pertes blanches ou vaginales (leucorrhée) : C’est une infection vaginale qui va être rencontrés soit par rapport à des refus d’avoir des relations sexuelles, mais aussi qui pourront avoir lieu lors de culpabilité ou d’agressivité envers son partenaire, ou du fait de ne pas en avoir. Les leucorrhées résultent d’un sentiment d’être impuissant face à son partenaire, et de n’avoir aucun pouvoir sur lui, elle deviendra alors un outil de manipulation qui pourra faire penser à la personne souffrante de leucorrhées qu’elle contrôle la situation, parce que ce sera à elle de décidé quand elle veut avoir une relation sexuelle ou non. La personne souffrante de leucorrhée n’est pas en contact avec ses propres besoins et ses désirs, elle les fait passer après ceux des autres et deviens alors soumise et se laisser exploiter.

Les douleurs menstruelles (dysménorrhée) : Elles sont souvent liées à la culpabilité et la colère. Ce sont des sentiments que l’on retrouve lors d’une expérience où la personne aurait été abusée sexuellement (et particulièrement avant la puberté). Si la femme refuse sa condition, et si elle s’indigne de sa position de soumission dans la société aux règles auxquelles elle doit se soumettre. Il peut en découler aussi des sentiments de remords envers la figure paternelle et aux hommes en générales alors les menstruations seront douloureuses. Le fait d’être perfectionniste et d’attendre la même chose des autres, pourrait être une cause de douleurs menstruelles.

L’aménorrhée des menstruations : C’est l’absence ou l’arrêt des règles chez la femme. Si l’aménorrhée apparaît alors que la femme est en âge d’avoir ses menstruations, cela peut être liée au rejet de la féminité, à un choc émotionnel ou alors aux inconvénients d’être une femme. La culpabilité pouvant provenir de certaines paroles ou des actions du partenaire sexuel, aux sentiments vécus pendant la période des menstruations. La femme souffrant d’aménorrhée vis une certaine crainte, un malaise ou une culpabilité. Elle va donc se programmer mentalement et faire cesser ses menstruations, elle va ainsi faire cesser la vie en décidant de cesser la procréation. Cela remet aussi en cause l’aspect génitrice de la femme comme un outil de reproduction.

Les ménorragies menstruelles : C’est l’augmentation anormale de l’abondance des règles, de la durée des règles. Elle peut entre autre provenir d’un fibrome utérin. C’est une difficulté avec la coagulation du sang, une perte que l’on ne peut contrôler. Un sentiment que quelque chose échappe. Les ménorragies sont en principales reliées à la non-acceptation d’avoir des enfants, ou de grandes pertes de joie face au fait que je ne peux pas enfanter, cela peut venir du fait de l’infertilité, mais aussi d’un moyen de contraception. La personne souffrant alors de ménorragies perds alors sa place de femme, elle va rechercher son identité, ce qu’elle veut vraiment, comment assouvir les besoins de tendresse et de plaisir ou alors qu’elle la situation du couple qu’elle ne peut plus supporter et dont cela à besoin de changer.

Endométriose : C’est la formation de fragments muqueuse à l’extérieur de la paroi utérine. Cette maladie est souvent reliée au refus inconscient de la maternité. Souvent liées avec une relation avec la mère que la personne à, ou a eue, et l’héritage qu’elle en à laisser, soit en conflit avec ce que la femme est réellement et la place qu’elle veut occuper. L’incapacité de savoir se positionner face à cette femme qui est sa mère et qui est ou a été très influente dans sa vie. La peur se s’exprimer face à elle et de se la mettre à dos. Mais aussi le doute d’établir un foyer correct pour cet enfant, la solidité du couple, la crainte que l’arrivée d’un enfant change toute sa vie, le doute d’avoir les capacités d’être une bonne mère sont aussi des raisons émotionnelles à cette maladie.

Fibromes utérins et kystes féminins : C’est une tumeur bénigne formée de tissus fibreux. Ils apparaissent le plus souvent sur l’utérus, le siège de la maternité, de la féminité et de la sexualité. Tout ce qui touche donc le foyer, la famille et qui peut être en rapport avec un choc émotionnel (blessure ou abus du passé) que la femme peut avoir vécu. Une sensation d’avoir été blessée ou trahi par le partenaire, ou des sentiments de culpabilité, de honte ou de confusion intérieure qui a été refoulés depuis longtemps et s’est alors formé en masse de tissus mous. Ces chocs émotionnels peuvent être liés à des premières expériences sexuelles ou un arrêt de grossesse qui aurait pu perturber la personne souffrante de ces maux. C’est le fait de combler un vide intérieur à tout prix. La fuite de ses besoins et de ses envies pour faire comme les autres. Alors une remise en question s’opère.

Bien sûr, ici ce sont quelques pistes des maladies les plus connus, mais aussi chaque femme déclarera une maladie suivant son vécu, ses prédispositions génétiques, mais aussi de comment elle vit au quotidien. Vous pouvez tout aussi bien consulté en parallèle de la médecine traditionnel un énergéticien qui saura vous accompagner lors de ces épreuves.

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